
Réservation et disponiblité:
Bibliothèque de Nendaz
Le lieu : une coquette ville anglaise comme on en trouve par centaines au Royaume-Uni, briques et pavés, géraniums et clocher, salon de thé et marchand de parapluies. Pagford, pour ne pas la nommer, mais ça ressemble furieusement à d’autres (Windsor, par exemple…). L’époque : la nôtre, sous toutes ses facettes, de la guerre des apparences à la guerre des individus – mais tout cela avec un nuage de lait bien sûr. L’action : une mort un peu violente, du moins en ce qu’elle surprend tout le monde car Barry Fairbrother, pilier de la communauté, n’avait ni l’âge ni l’activité requis pour partir impromptu les quatre fers en l’air… Et ensuite : mêlée générale, comme il convient au pays du rugby ! Car pour ce qui est des conflits, larvés ou affichés, des manigances et des révélations curieuses, Pagford n’a rien à envier ni aux tragédies de Sophocle ni aux polars d’Agatha Christie, dont le fantôme pince-sans-rire flotte sur le roman. (Source: www.payot.ch)
Ce livre de J.K. Rowling sorti en 2012 est un énorme pavé. Peut-être est-ce pour cela que je ne l'ai lu que maintenant. Je le regrette un peu car après avoir croché les premiers chapitres, je ne l'ai plus lâché! Une mort tout ce qui a de plus naturel et voilà la machine à cancans et les coups bas qui se mettent à pleuvoir. Vous lisez la vie des habitants de Pagford comme si c'était votre village. Véronique C.
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